Mutualité Chrétienne de la Province de Namur

Pourquoi cet accent sur la mobilité douce ? « Parler de mobilité douce pour une mutualité, c’est une évidence car elle fait le lien direct avec la santé. Nous devons être exemplatif sur ce type de matières. Le point de départ, c’est le parking saturé. Nous avons décidé de supprimer un certain nombre de places de parking pour les collaborateurs habitant à moins de 5km du centre. Ils ont dû trouver des alternatives à la voiture pour se rendre au travail : à pied, à vélo, ou en transports en commun. Je suis plus pour une politique des petits pas qui ne nous permettent plus de reculer. Nous avons mis en place des actions qui font des petits. Et qui font que nous avons de plus en plus de collèges qui adhèrent. Nous avons consacré des moyens à ces actions et infrastructures pour améliorer la mobilité douce. Et s’ils ne sont pas énormes, ils sont réels, concrets et permettent de faire des avancées petit à petit ».  

Quels sont pour vous, les facteurs indispensables à la bonne gestion de la  mobilité en entreprise?  « Tenir compte des attentes et des besoins des collègues, travailler en équipe, bénéficier du soutien de la direction et bien communiquer vers le personnel en expliquant nos objectifs et notre stratégie pour y arriver ».